Candide, Ou L'Optimisme by Voltaire (2018, Trade Paperback)

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Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes.

Acerca de este artículo

Product Identifiers

PublisherCreateSpace
ISBN-101979848513
ISBN-139781979848510
eBay Product ID (ePID)242875828

Product Key Features

Book TitleCandide, Ou L'optimisme
Number of Pages126 Pages
LanguageFrench
TopicGeneral
Publication Year2018
GenreFiction
AuthorVoltaire
FormatTrade Paperback

Dimensions

Item Height0.3 in
Item Weight8.6 Oz
Item Length9 in
Item Width6 in

Additional Product Features

Intended AudienceTrade
SynopsisIl y avait en Vestphalie, dans le ch teau de M. le baron de Thunder-ten-tronckh, un jeune gar on qui la nature avait donn les moeurs les plus douces. Sa physionomie annon ait son me. Il avait le jugement assez droit, avec l'esprit le plus simple; c'est, je crois, pour cette raison qu'on le nommait Candide. Les anciens domestiques de la maison soup onnaient qu'il tait fils de la soeur de monsieur le baron et d'un bon et honn te gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais pouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre g n alogique avait t perdu par l'injure du temps. Monsieur le baron tait un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie, car son ch teau avait une porte et des fen tres. Sa grande salle m me tait orn e d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin; ses palefreniers taient ses piqueurs; le vicaire du village tait son grand aum nier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par l une tr s grande consid ration, et faisait les honneurs de la maison avec une dignit qui la rendait encore plus respectable., Il y avait en Vestphalie, dans le ch'teau de M. le baron de Thunder-ten-tronckh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les moeurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son 'me. Il avait le jugement assez droit, avec l'esprit le plus simp≤ c'est, je crois, pour cette raison qu'on le nommait Candide. Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était fils de la soeur de monsieur le baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie, car son ch'teau avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin; ses palefreniers étaient ses piqueurs; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes. Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération, et faisait les honneurs de la maison avec une dignité qui la rendait encore plus respectable.
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